Nous continuons les interviews utilisateurs avec celui de Julien qui vient de passer le TOEIC et qui a reçu un score très honorable, même s’il ne pensait pas avoir un bon niveau en anglais au départ. Suite à cela, il nous a envoyés un message pour nous faire part de sa réussite. C’est à ce moment-là que nous lui avons parlé pour en savoir plus, afin qu’il partage ses tuyaux pour pouvoir s’améliorer en anglais et préparer un examen d’anglais tel que le TOEIC Test. Il nous explique tout : le moment où il a réalisé l’utilité de l’anglais dans sa carrière, la stratégie mise en place pour progresser rapidement et réussir au TOEIC avec le score qui lui a fourni le sésame pour finir ses études.

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Interview de Julien, utilisateur MosaLingua, qui vient de passer le TOEIC

Nous avons interviewé Julien, un utilisateur MosaLingua pour qu’il vous donne ses conseils et astuces avant de passer le TOEIC.

Pourrais-tu commencer par te présenter rapidement, et nous parler un peu de toi ?

J’ai 26 ans et je viens de finir mes études d’ingénieur dans lesquelles je me suis spécialisé dans l’amélioration continue des processus. Je commence mes recherches d’emploi en ce moment. J’ai développé un grand intérêt pour le management des organisations lors de mes études, et je porte un grand intérêt à l’histoire. J’aime aussi tout ce qui a trait à la technique et au football.

Quel était ton rapport aux langues étrangères jusque-là, as-tu toujours eu un bon niveau d’anglais ?

Mon rapport aux langues étrangères n’était pas très bon. Je n’ai jamais eu de bonnes notes dans ce domaine, même en français je n’excellais pas. Mes professeurs me classaient dans la case « esprit scientifique », ce qui me convenait. D’autre part, pendant longtemps, je ne voyais pas grand intérêt à apprendre une autre langue, mon niveau était faible. J’avais une mauvaise vision des langues étrangères par rapport au français, considérant que le français était la plus belle et raffinée des langues. Que les autres n’étaient pas au même « niveau ».

Ceci a changé lorsque j’ai regardé ce qui se passait en dehors de la France et que j’ai voyagé à l’étranger au fur et à mesure que mon parcours post-bac avançait. Je me suis plusieurs fois senti frustré par mon faible niveau d’anglais. Ceci m’a motivé pour améliorer mon niveau.

Quelle a été ta stratégie d’apprentissage pour passer le TOEIC avec un si bon score ?

J’ai, en partie, suivi les conseils présents sur le blog de MosaLingua. D’abord, j’ai défini mon score cible. J’ai ensuite évalué mon score du moment afin d’avoir une idée de l’écart entre la situation présente et le niveau souhaité. Je me suis fixé une date de passage d’examen. Volontairement, j’ai fixé une date ambitieuse afin de me contraindre à me mettre au travail. De là, j’ai mis en place un plan de travail composé de routines.

Un bon vocabulaire et une bonne grammaire sont indispensables pour passer le TOEIC, et avoir un bon score. Je me suis donc fixé un objectif en nombre de cartes à atteindre pour le jour de l’examen (3 000 dont 700 déjà apprises l’année précédente) et j’ai décidé de m’offrir le pack grammaire. J’ai travaillé également sur une liste de 1 200 mots extraits de 2 manuels sur le TOEIC via le logiciel Anki, également basé sur le SRS. Je passais aussi des TOEICs blancs tous les 4 jours afin de voir l’évolution de mon score. J’ai effectué quotidiennement des sessions de visionnage de séries en anglais sous-titrés (en particulier, How I Met Your Mother).

rencontre-avec-julien-qui-vient-de-passer-le-toeic-en-procrastinant-avec-mosalingua-mosalinguaDurant cette période (2 mois), j’ai attaché une attention particulière à mon hygiène de vie et notamment un bon sommeil. Je faisais souvent une sieste de 15 minutes afin d’optimiser mon apprentissage. Après une série de révision de 300 cartes par exemple, il est à priori bienvenu de laisser 15 minutes de tranquillité à son cerveau afin qu’il synthétise les données. De nombreux résultats de recherche indiquent que la sieste, même courte, a des effets positifs sur l’apprentissage.

« La procrastination peut avoir du bon… » Comment penses-tu que l’on peut transformer la procrastination en une activité productive ?

Il s’agissait d’un clin d’œil à l’histoire de Samuel, son voyage chez sa belle-famille et sa découverte « détournée » du SRS. D’une manière générale, je ne pense pas que la procrastination soit très utile… A vrai dire, j’ai du mal à bien cerner la définition de ce mot.

S’il s’agit de repousser des tâches de manière inconsciente en perdant son temps, je ne pense pas que ce soit de très bon augure. Même s’il est vrai que ceci peut amener à acquérir des savoirs désintéressés, ce que je considère une bonne chose, ceci peut aussi amener à faire mal ou ne rien faire. A l’inverse, s’il s’agit de se créer un espace temps durant lequel on peut laisser « vagabonder » son esprit afin d’avoir de nouvelles idées ou de se questionner sur un sujet par exemple, je trouve ça positif.

Certains stratèges d’entreprise ont ce type de pratique. Ils planifient des zones libres dans leur emploi du temps afin d’avoir de nouvelles idées (cf. livre Et si je prenais mon temps). Proactif avec la procrastination…

Quelles seraient les opportunités offertes par la maîtrise de l’anglais et un bon score au TOEIC dans ta future carrière professionnelle ?

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importante pour une carrière réussie. La pratique de l’anglais en tant qu’ingénieur est devenue une compétence indispensable, même dans les entreprises françaises de taille petite et moyenne. Maîtriser l’anglais ouvre des opportunités pour des missions ou des postes en expatriation. Un très bon ingénieur en conception électronique mais mauvais en anglais aura une évolution de carrière lente.

Dans mon cas, récemment diplômé ingénieur, un bon niveau d’anglais est devenu une condition

D’autre part, un ingénieur doit réaliser une veille intellectuelle par rapport à l’innovation, la maîtrise de l’anglais lui garantit une ouverture plus grande vers les sources d’informations (article, thèse, interview) lui permettant d’effectuer cette veille.

Pour finir, quels seraient tes conseils pour nos lecteurs qui souhaiteraient se lancer dans des préparations pour passer le TOEIC, le TOEFL ou l’IELTS ?

Je reprendrais les conseils que vous distillez à travers votre blog. Anticiper la date de l’examen, se fixer un objectif de points et un calendrier de travail. Pratiquer la langue le plus possible. L’anticipation est nécessaire car les progrès demandent du temps. Dans le cas du TOEIC, on m’avait dit que 1 point supplémentaire équivalait à 1 h de travail, ce qui me semble à peu près vrai. Il faut donc avoir confiance dans le temps « long » terme. Ne pas hésiter à changer ses habitudes quotidiennes et mettre en place des routines d’apprentissage.

Merci Julien pour avoir pris le temps de répondre à nos questions. Bon courage pour la suite !

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